Un rendez-vous galant

Le chancelier s'ennuyait chez lui, il n'avait pas vu de jolies minettes telles qu'Augustine depuis longtemps, et cette rencontre avait justement ravivé ses désirs.
Il se souvint qu'il lui avait demandé une faveur et voulut en connaître le résultat, il appela Augustine, avide d'entendre sa voix qu'il trouvait si belle.

Citation :: Ma très chère Augustine, auriez vous l'obligeance de vous rendre au musée du Louvre s'il vous plaît ? Je brûle d'envie de vous revoir.

Le téléphonna sonna dans la demeure alos qu'Augustine terminait le chapitre 3 de son dernier manuscrit.
Les dernier événements survenus en compagnit de mage, avaient stimulés son imagination.
La vampire déposa sa plume, et décrocha le combiné. Elle reconnue assez vite la voix du chancelier. Un sourire mystérieux se dessina sur ses lèvres...

-"Ma très chére Augustine ..."

-"Je viendrais dans la nuit mon chér."

Elle racrocha. Et se promis d'attendre un peu avant de se rendre au rendez vous. L'attente rendait toujours les rencontres plus... intéréssantes.

Raphael se précipita au lieu du rendez vous, vêtu de sa plus belle redingote, il brûlait d'envie de revoir ce doux visage, chaque minute de plus était comme une marche à l'escalier menant vers le paradis, mais il savait pertinemment que plus haute serait l'ascension, plus magnifique serait la vue une fois au sommet.

[Hj Exucuses moi du retard j'ai été absente.]

Augustine sourie se chér Raphael avait l'air préssé de la voir. C'était plutôt flatteur, bien qu'un peu surprenant. Ils ne s'étaient vue en tout et pour tout que de fois de leurs "vies".
La vampire décida de faire un petit effort de présentation... il était si chament avec elle, elle lui devait bien ça.

Elle arriva donc au Louvre les cheuveux relevé en un chignon. Ma lgré quelques méches rebelles autour de son visage. Sa belle nuque blanche et gracieuse ainsi à découvert. Et elle avait revétue une robe longe au ton bordeau, qui elle le savait allait parfaitement avec sa peu claire. Un collier d'argent décorait son coup avec gout.

La vampire se présenta au lieu de rendez vous d'un pas calme. Un sourire discrét au lèvres, en voyant son hote devant elle le dos tourné. Elle s'arréta et déclara de sa voix claire.

-"Bonsoir."

Raphael se retourna au son de cette voix qui lui était tant agréable.
-Douce Augustine, vous incarnez la quintessence de la ravissance, jamais je ne cesserai de le dire.
Il avait reprit son ton et son air sérieux, s'il exprimait sa passion autrement que par les paroles, il risquait de brusquer les choses et il n'avait pas envie d'user de ses pouvoirs de Majesté pour tricher, il préférait séduire de par ses propres moyens, l'exercice en serait d'autant plus jouissif.
Il s'inclina jusqu'à la main d'Augustine pour l'embrasser et reprit la parole.
Il savait que les étoiles étaient très faciles à admirer par les nuits d'été et en profita pour faire part de ses connaissances à la Vampire.
Il plaça sa main sur son épaule tel un oisillon se posant le plus délicatement possible sur le plus magnifique des supports afin de ne pas le faire céder et lui indiqua le ciel de son autre main.
-Vous devez sûrement connaître cette constellation, elle s'appelle "la grande ourse", mais connaissez vous son histoire ?

Comme toujours les parole de ce vampire furent fort agréables à son oreilles. Il aiait lrs mots autent pour leur son que leurs sens du moins elle en avait l'impression. Augustine préféra rester silencieuse n'étant jamais aussi rapide à donner des compliment.
Elle le regarda s'avancer et comme toujours la saluer par un baiser sur sa main blanche et douce. Elle aimait l'idée de préserver les traditions de l'ancient temps.

Ils étaient sous un jolie ciel étooilé d'été. Et alors qu'une main se posait délicatement sur son épaul, la vampire levait dejà son regard vers les cieux. Les étoiles l'avaient touours facinées... Elle fut d'autent plus ravie que Raphael aborde ce sujet. Elle se doutait bien que si il le faisait c'est qu'il devait savoir. Les vampires comme lui aimaient devancer les réponses à chaqune de leur propre question.

Augustine décida de jouer ce petit jeu de savoir. Parler de choses aussi belle que les étoiles lui convenait. Elle sourie en observant plus attentivement la costélation en forme de castrole. Bien qu'elle connaissait la réponse elle préféra écouter son hote faire son récit. Sa vois se fit donc joliment hésitante.

-"N'est elle pas depuis toujours la guide... des marrains et nomades ?"

Cette réponse amusa le Vampire, il afficha un sourire bienveillant et lui dit d'une voix la plus douce possible :
-Je pense que vous devez confondre avec l'étoile du berger, qui n'est d'ailleurs que la planète portant le nom qui vous définit parfaitement : Vénus, que dis-je ? la déesse de la beauté ne vous égale sous aucun angle, la votre est sans nul doute la plus sublime à travers le pays, le continent, le monde !
Il s'interrompit pour revenir au sujet, il ne voulait pas non plus paraitre agaçant avec ses myriades de compliments.
-Je vais donc vous conter cette belle histoire :
Vivaient dans un village, une pauvre mère et sa fille.
L'été commençait et la sécheresse déjà commençait à usurper le village. La fille cependant, s'efforçait de convenir à sa mère et cette dernière lui avait demandé récemment d'aller lui quérir quelconque boisson.
Elle s'éxécuta donc et alla chercher de l'eau au puits avec sa casserole, c'était la dernière casserole qu'elle pouvait remplir aujourd'hui et le chemin du retour était long et ardu.
Arrivée à sa maison, elle offrit donc la moitié du contenu à sa mère et alors qu'elle s'apprêtait à boire l'autre moitié, elle rencontra un petit chien tout efflanqué et mourant de soif.
Fort heureusement, sa compassion était beaucoup plus intense que sa soif, qui était pourtant incomparable et elle offrit sa part au petit chien.
Elle s'évanouit aussitôt et se réveilla à la nuit apercevant cette constellation au ciel, quant à sa casserole rouillée et percée, elle s'était transformée en argent et se remplissait d'eau chaque fois que l'on la vidait.

Augustine écouta le beau parleur sans broncher. Il avait le languge beau et facile. Pourquoi l'arrêterait elle. Tout en regardant l'objet de cette petite histoire la vampire sourie.
La compassion, un sentiment humain, lui étant retiré depuis bien lontemps... Mais cette petite fable si l'on puit dire, la séduit. Qui ne se sentirait pas touché même un peu par ce comportement altruiste ?

Aprés avoir laissé planné un doux silence la vampire se tourna vers son interlocuteur. Avec un sourire malicieux elle plongea son regarr dans le siens. Non pour l'intimider mais pour le tensperser.
Puis elle lui demanda amusée.

-"Racontez vous cette jolie histoire à toutes celles aux quelles vous faite la coure ?"

Raphael cacha son etonnement par son eternel sourire, jamais une de ses conquêtes ne lui avait tenu ce discours, et cela signifiait qu'Augustine n'allait pas être facile à séduire.
Cependant, il sentait quelque chose d'étrange en elle, il avait l'impression qu'Augustine l'attirait réellement et cela lui plaisait, ca faisait très longtemps qu'il n'avait pas eu de relation sérieuse avec une femme.
Il lui vint alors une idée folle, peut être que ses petites aventures allaient s'arreter là, qu'il avait peut être trouvé une femme qu'il aimerait vraiment, mais pour en avoir la certitude, il devait attendre encore un peu, rester auprès d'elle, sa présence lui était plaisante, il répondit :

"Je ne raconte cette belle histoire qu'aux personnes que je porte en mon coeur"

Raphael avait attitude de séducteur. Augustine avait conscience qu'elle plaisait à son interlocuteur. Mais il avait beau être aimable flatteur, la vampire connaissait cela par coeur.

Une aventure sans importance pour un vampire éternelle... Elle n'avait plus envie de cela. Elle était sure Terre depuis plus de deux siécles. Son coeur voulait se poser. Elle voulait vivre une histoire.

Elle sourie énignatique devant cette réponse. Puis elle avança doucement. Joignant ses délicate mains. Elle s'arréta dos à lui et regarda droit devant elle. Sa voix était un peu moqueuse. Elle était romantique certe mais pas naïve.

-"Comment pouvez vous dire cela. Alors que nos chemins viennent tous juste de se croiser..."

Raphael aurait du fil à retordre, il songea à utiliser ses pouvoirs mais y renonça, ce ne serait pas de jeu et en plus, il sentait que cette personne lui plaisait vraiment, la question qui venait de lui etre posee l'embarassait serieusement, et la meilleure maniere de se sortir de l'embarras, c'est de mettre quelqu'un d'autre dans l'embarras :

"Augustine, je suis sincèrement désolé si le fait que vous me plaisiez vous importune, de grâce pardonnez mon impudence"

Toujours de dos la vampire sourie à cette réponse. On aurait dit qu'il était sincére. Si elle avait été sadique elle aurait profité de cela. Mais Raphael avait été plus que convenable avec elle. A chacune de leur rencontre une courtoisie sans défaut.
Il voulait peut être la mettre mal à laise avec ces mots. Essai manqué. Elle n'était pas gu genre à rougir devant les compliments. sa longue vie lui avait permi de connaître beaucoup d'amant. Augustine connaissait donc les charmes qui les attiraient à elle.

Son interlocuteur ne la surprenait pas. Mais qu'une personne de sa position charme une simple écrivain, l'amusait.
Elle se retourna, avança vers lui. Voyons voir jusqu'ou il était franc. Elle s'arréta juste en face de lui et le fixa droit dans les yeux. Et d'une voix étonament douce. Augustine lui demanda au creu de l'orreil.

-"Je vous pardonne volontier. Mais une chose m'étonne toujours. Comment se fait il qu'une personne telle que vous soit seul ?"

Celle là on lui avait déjà faite, et beaucoup de fois, si bien que sa reponse etait presque devenue routinière, il ne bougea pas et murmura à son tour :

"C'est parce qu'aucune autre n'égale votre beauté qu'aucune autre n'usurpe votre place"

Il se surprit lui même en se rendant compte qu'il n'avait jamais dit cette phrase avec autant de sincèrité, décidément, Augustine lui plaisait vraiment, et puis, il y avait chez elle une sorte d'insolence qui l'attirait davantage...

La réponse fut donner très rapidemant comme une habitude prise. Cela tira un petit sourire moqueur aux lévres de la vampire. Il voulait la charmer... bien.
Mais maintenant elle avait soif. Voyons jusqu'ou irait ses bonne maniéres. Elle lui prit délicatement le bras et en commençant à marcher elle dit simplement.

-"Allons diner mon cher."

"Volontiers ma chère Augustine, j'ai chez moi quelques calices conscients et en parfaite santé, cela vous dirait il d'aller y goûter ?"

-"Allons y dans ce cas..."